Il n'existe pas de bonne traduction du terme anglais soft skills. Les skills se sont les compétences. Soft cela veut dire dans le contexte être adaptable, doux, flexible. La meilleure traduction selon moi serait les compétences flexibles, mais la notion de SOFT SKILLS, c'est beaucoup plus que ça.

Les soft skills regroupent en fait toutes les compétences permettant des interactions sociales réussies et l'atteinte des objectifs, qu'ils soient personnels ou professionnels.

Les soft skills se sont les compétences du savoir être. Comment se comporter face à une situation, que ce soit un challenge, un problème ou une opportunité. Il s'agit des compétences transversales à tous les métiers qui facilitent les échanges et les interactions dans la société, et dans le monde de l'entreprise.

Le niveau de soft skills d'une personne n'est pas lié à son niveau de QI (Quotient intellectuel) mais à son niveau de QE (Quotient émotionnel), c’est-à-dire à la capacité à contrôler ses sentiments et canaliser ses émotions.

Les grands leaders et dirigeants d'entreprise ne sont pas les plus intelligents en QI, mais ils ont un QE très élevé. Si tu penses aux chefs d'état qui ont dirigé ces dernières décennies les plus grandes puissances de la planète, tu pourras juger que certains individus n'étaient pas particulièrement intelligents d'un point de vue QI. Il n'empêche que ces leaders au QI moyen avaient une telle maîtrise de leurs soft skills et un QE tellement élevé, que cela les a amenés à occuper la position suprême de leur pays.

Les plus grandes créations de valeur de l'histoire se sont jouées sur les soft skills. Ce ne sont pas les meilleurs techniciens, ingénieurs ou inventeurs qui brillent en société et sont devenus riches. Ce sont les meilleurs communicants, les leaders les plus efficaces, les stratèges et les visionnaires qui occupent les échelons les plus élevés dans les entreprises.

Autour de toi là où tu travailles, tu dois probablement voir des managers que tu ne trouves pas particulièrement intelligents d'un point de vue Quotient Intellectuel, mais qui sont extrêmement malins, ce qui leur permet de très bien progresser dans leur carrière.

Dans le monde professionnel, ce n'est pas toujours le raisonnement le plus logique qui l'emporte. Ce ne sont pas les éléments les plus factuels et précis qui te permettent de convaincre et de valoriser ton action.

Plus tu vas t'élever dans la hiérarchie, plus tu vas être en contact avec des leaders qui maîtrisent de mieux en mieux les soft skills. D'ailleurs sur les offres d'emploi, plus le poste - et la rémunération - sont élevés, plus les recruteurs vont rechercher des soft skills pointues.

• Les soft skills de LEADERSHIP, c’est-à-dire celles qui sont liées à l'INFLUENCE. Comme par exemple la communication.
• Les soft skills d'EFFICACITE, c’est-à-dire celles liées à l'ACTION. Comme par exemple bien gérer son temps, son énergie, son stress, les ressources à disposition. Comment être efficace, tout simplement.
• Les soft skills d'AGILITE, c’est-à-dire celles qui permettent de résoudre des problèmes, être créatif et innovant. Faire preuve d'ouverture d'esprit. La capacité à analyser, l'habilité à prendre des risques. Nous retrouvons dans cette catégorie un grand nombre de compétences liées au développement personnel, comme par exemple la capacité à se remettre en question.
• Les soft skills SOCIALES, ce sont les compétences comportementales, la capacité à écouter, à faire preuve d'empathie, le contrôle des émotions, le travail en équipe, le sens du collectif.

Les soft skills se sont les compétences professionnelles les plus importantes, car une fois qu'elles sont acquises, elles ne se perdent pas, elles ne s'oublient pas.

Une soft skill ce n'est pas une connaissance apprise qui s'oublie avec le temps.

C'est une compétence qui, comme un bon vin, ne fait que se bonifier avec le temps.

Les soft skills ne peuvent pas être disruptées par une nouvelle technologie, elles ne seront jamais obsolètes.

Car elles sont importantes aujourd'hui pour évoluer dans ta carrière professionnelle, mais elles sont aussi importantes pour séduire ton partenaire, favoriser une harmonie familiale.

Demain elles te seront importantes pour faire face à des challenges dans ta vie, pour résoudre des problèmes personnels, changer de vie, se reconvertir professionnellement, ou encore pour prendre de bonnes décisions financières.

Tu as déjà dû t'en apercevoir : dans ton entreprise ou ton organisation, plus tu montes dans la hiérarchie, et plus tu trouves des gens qui sont beaucoup moins capables que toi de faire des tâches productives.

Par contre, ils sont bien meilleurs que toi dans le domaine des soft skills.

Si tu crées de la valeur en utilisant uniquement tes hard skills, tu vas te buter à un plafond de verre, car le temps disponibles et les journées de travail ne sont pas extensibles indéfiniment.

Et pire, plus tu vas vieillir, plus ta productivité dans la maîtrise des hard skills va diminuer, et donc ta valeur sur la place de marché va petit à petit décroitre.

Alors que les soft skills, plus tu acquiers de l'expérience, de la maturité, et plus elles deviennent bonnes et puissantes. Plus elles génèrent de la valeur que tu vas pouvoir, d'une manière ou d'une autre, transformer en une augmentation de revenus.

C'est vrai :

• Pour ta carrière professionnelle
• Pour ta vie personnelle
• Pour la réussite de tes finances

• Si tu es ingénieur dans un bureau d'études dans l'aéronautique, et que tu changes de métier pour devenir cadre commercial dans le secteur bancaire, les seules compétences que tu vas emmener avec toi dans le nouveau poste, ce sont tes soft skills
• Si tu te retrouves transporté 2000 ans en arrière dans l'Antiquité, les seules compétences que tu as et qui pourront t'être utiles, ce sont les soft skills
• Si tu te retrouves catapulté 2000 ans dans le futur et que tu ne comprends pas la technologie et l'organisation sociale de cette nouvelle époque, seules tes soft skills pourront t'être utiles. Et ce sont aussi elles qui te permettront de t'insérer dans cette nouvelle société, et développer des relations.
• Si tu perds ton emploi parce que ton secteur d'activité a complètement été disrupté par un nouvel acteur économique, ou est devenu obsolète, les seules compétences que tu pourras vendre sur le marché du travail, ce sont tes soft skills.
• Ou plus réaliste, si tu es muté dans un nouveau poste auquel tu ne connais rien, ce sont tes soft skills qui te permettront de réussir dans ce nouvel univers totalement inconnu (et ce sont aussi tes soft skills qui t'auront permis d'accéder à cette opportunité de progression!)

Depuis que l'humanité s'est sédentarisée, elle est passée par différents stades. D'abord une économie majoritairement primaire, l'agriculture, qui est secteur d'activité qui repose essentiellement sur les hard skills.

Puis l'économie est devenue industrielle, avec une plus forte concentration de travailleurs au même endroit, une décomposition des tâches, des besoins en organisation, en management, en leadership. Pour avoir des chances de progresser dans la hiérarchie, il ne s'agissait pas d'être le mineur le plus productif de la mine, mais celui qui avait les meilleurs soft skills, pour encadrer une équipe, résoudre les problèmes, gérer la logistique.

Mais le besoin en soft skills restait limité, il n'y avait pas beaucoup de finesse dans l'organisation sociale du travail. Pour avoir accès aux meilleurs postes, mieux valait encore être un ingénieur avec des connaissances techniques très pointues.

Puis l'automatisation des processus industriels a rendu obsolète un grand nombre des hard skills des travailleurs, avec en parallèle le développement du commerce mondial qui a très sérieusement affecté la compétitivité des salariés dont les compétences reposaient principalement sur les hard skills.

Ensuite nous sommes rentrés dans une ère de services, le tertiaire. Alors là les besoins en soft skills ont explosé. De nouveaux modes d'organisation du travail sont apparues, avec des bureaux en open space et des organigrammes plus horizontaux que verticaux. Des échanges beaucoup plus fréquents avec les clients, les sous-traitants, les prestataires.

Les processus d'échanges se sont accélérés et complexifiés, et là dedans, les soft skills ont véritablement eu une grande valeur ajoutée pour mettre de l'huile dans les rouages du système, et faire en sorte qu'il fonctionne de la manière la plus optimale possible.

Aujourd'hui nous sommes rentrés dans la décennie des années 20, nous sommes toujours majoritairement dans le tertiaire, mais il est possible que l'histoire retienne que le milieu des années 2010 nous a fait rentrer dans l'ère de la data, de la donnée, de la décentralisation des centres de décision et du traitement des informations. Les progrès dans les puissances de calcul informatiques et dans les vitesses de transmission des données en temps réel sont ont été si importants, que l'automatisation, qui jusqu'alors n'avait concerné que les postes de travail demandant de la force brute, devient possible pour des champs d'application qui relevaient jusqu'alors de la science fiction.

• Les hards skills c'est ce qui permet de rentrer dans la vie active.

Si tu as un emploi, un métier, il faut bien sûr maintenir tes compétences, mais il faut surtout développer en masse tes soft skills.

• Les soft skills sont les plus importantes pour réussir sa carrière et sa vie financière, comme le leadership, l'influence, la communication, les relations humaines, la créativité, l'innovation, l'habilité à résoudre des problèmes complexes ou à définir des stratégies dans des univers non contrôlés (comme le monde des affaires).

Ce seront les dernières à être remplacées par une machine.

Ce sont donc sur elles qu'il faut miser.

Nul ne peut prédire quelles seront les avancées technologiques des prochaines décennies.

Cela fait maintenant 20 ans qu'Internet a massivement envahi nos vies, et a considérablement diminué la valeur des connaissances. La plupart des connaissances se retrouvent gratuitement accessibles à quelques clics de souris.

Ce qui est en train de se passer en ce moment, c'est la dévalorisation des compétences métier, des hard skills.

Un fossé est en train de se créer entre ceux qui maîtrisent les soft skills, et ceux qui ne les maitrisent pas, et cela va redistribuer les richesses dans la société. Ceux qui ne misent que sur leur quotient Intellectuel (QI) et ne développent pas leur quotient émotionnel (QE), auquel de nombreuses soft skills font appel, ceux-là ils vont souffrir dans les prochaines décennies.

Cela fait longtemps que nous savons que les connaissances ne suffisent pas pour avoir du succès et être riche, sinon tous les professeurs d'université et doctorants seraient millionnaires. Les leaders avisés savent que les compétences techniques sont de moins en moins les compétences du succès. En entreprise ou en entreprenariat, concevoir un nouveau produit ou planifier un projet ne suffit pas: il faut savoir le mettre en oeuvre, savoir mobiliser toutes les ressources pour le réaliser, le vendre, communiquer dessus. C'est à ce moment là que la vraie valeur se créée - ou se détruit.

• Les Hard Skills, se sont les compétences métier, les compétences techniques, les compétences fonctionnelles.
• Les Soft Skills, c'est ce que l'on appelle les compétences conceptuelles. C'est une combinaison de compétences personnelles et sociales qui permettent les interactions humaines dans une organisation.

La perception ça se corrige par la communication. Si tu as des compétences plutôt banales mais que tu sais très bien communiquer, tu devrais quand même pouvoir réussir.

Les Hard Skills, c'est tout ce qui concerne la réalisation des tâches sur un poste de travail, que le travail soit manuel ou intellectuel. Ce sont les compétences nécessaires pour permettre à un travail d'être fait, dans le cadre d'un processus de production établi et répétitif, et cela peut concerner aussi bien une production de biens physiques que de services. Des connaissances liées à une technologie, ou à un secteur d'activité, se sont des HARD SKILLS. Les hard skills s'acquièrent à l'école et par la formation, et le plus souvent on the job, c’est-à-dire, en situation professionnelle.

Les Soft Skills, les compétences conceptuelles, représentent une combinaison de compétences personnelles et sociales qui permettent les interactions humaines dans une organisation.

Ce sont des compétences qui peuvent être transférées à n’importe quel poste, métier ou industrie, et même utilisables dans la vie personnelle, amoureuse ou familiale.

• Si tu as décroché un entretien en face à face, mais que tu n'as pas été sélectionné pour le job, c'est parce que tu n'avais pas les SOFT SKILLS attendues par le recruteur, ou qu'un autre candidat maîtrisait mieux que toi les SOFT SKILLS.
• Dans ce cas de figure, le problème ne vient pas des HARD SKILLS, puisque si tu n'as pas menti, tu les possèdes, c'est écrit sur ton CV, et il a passé le filtre de présélection.
• Si tu n'as pas eu la promotion interne que tu visais quand le poste de ton chef est devenu libre, c'est parce que tu ne maîtrisais pas assez bien les SOFT SKILLS.
• Les hard skills, tu les as déjà puisque tu occupes déjà le poste inférieur, et ton boss maîtrise certainement beaucoup moins bien les hard skills requises que toi.

Ce sont des compétences qui se développent sur le long terme. Il n'existe pas d'école qui enseignent officiellement les soft skills.

La société de développement professionnel Waterfall Revenue travaille actuellement à la création d'une formation pour apprendre les soft skills. Cette formation sera dispensée en ligne et s'adressera à tous les salariés qui veulent progresser dans leur carrière professionnelle, avoir une promotion et augmenter leur revenus. Elle permettra de devenir manager, de passer au statut cadre, ou d'accéder à des postes de cadre supérieur voire de direction générale.

Pour être prévenu lorsque cette formation sera mise en ligne, le plus simple est de link:s'abonner au groupe privé Le Cercle en cliquant sur le lien ci-dessoushttps://w.waterfallrevenue.com/l/lecerclewe. Ainsi, tu commenceras à recevoir gratuitement des contenus pour progresser dans ta carrière professionnelle et dans la maîtrise des soft skills, et aura accès au prix promotionnel de lancement de la formation.

Voici quelques liens vers des tests de SOFT SKILLS.

• test easyrecrue.com
• test quotient émotionnel

Quelles sont les compétences soft skills incontournables à écrire sur son CV et à développer? Voici quelques pistes en fonction du profil professionnel.

Quel que soit le poste, le métier, l'industrie ou le secteur d'activité, voici les compétences les plus importantes à développer quand on est ou que l'on veut devenir un cadre manager :

• Soft Skill LEADERSHIP : la confiance en soi, l'influence et la communication, la capacité à apprendre, à écouter et à faire prendre d'empathie, avoir le sens des responsabilités
• Soft Skill EFFICACITE : gestion du temps et des priorités, tenir les délais annoncés, avoir un esprit pragmatique, résolution de problèmes
• Soft Skill AGILITE : ouverture aux changements, flexibilité, savoir se remettre en question et faire évoluer ses manières de procéder
• Les soft skills SOCIALES : travail en équipe, sens du collectif, savoir créer un climat de confiance, sens du service

S'il n'y avait qu'une seule compétence qu'un commercial devrait maîtriser parfaitement, ce serait l'INFLUENCE. Car l'influence c'est la compétence indispensable pour le commercial qui a pour objectif de VENDRE.

L'influence c'est l'aboutissement de la maîtrise de la soft skill leadership, qui elle même s'appuie largement sur les compétences communication et empathie.

Mais pour bien communiquer, influer et donc vendre, il faut avant tout savoir ECOUTER et OBSERVER.

Parmi les autres soft skills du commercial vendeur, qui est souvent hors du bureau et itinérant, nous avons :

• savoir s'organiser, notamment gérer son temps et les priorités (par rapport à la valeur)
• être proactif
• suivre les dossiers et avoir le sens du service

Enfin, il est une compétence qui prend de plus en plus d'importance, c'est la capacité à analyser des données et de prendre action. Ce n'est pas une nouvelle compétence pour un commercial, mais depuis que nous sommes rentrés dans l'âge de la donnée, cette compétence est devenue stratégique. En fonction de l'industrie et de l'entreprise, elle s'appuiera sur des compétences techniques comme l'utilisation d'un logiciel tableur, de solutions en ligne. Mais au delà des outils, c'est bien une sensibilité à l'analyse des données qu'il faut développer.

Les compétences nécessaires à l'entrepreneur créateur d'entreprise s'articulent de manière plus critique. D'une part car il doit en maîtriser énormément, notamment dans la phase de lancement d'activité, mais aussi car la plupart d'entre eux en délaissent certaines, alors que ce sont les plus importantes.

Compétence FOCUS : c'est tout se qui concerne la capacité à ne pas s'éparpiller et être efficace et rapide pour atteindre les objectifs fixés. La tentation pour le créateur d'entreprise c'est de s'occuper de plein de petits détails avant d'avoir mis sur le marché un produit ou un service, et réussi à mettre en place une machine de vente efficace.

Compétence INFLUENCE : l'influence fait appel aux soft skills communication et au leadership et dans ce contexte n'a qu'un objectif. VENDRE. Vendre ses produits et services à des clients bien sûr, mais aussi vendre son projet à des investisseurs, aux banques et organismes de financement, à ses collaborateurs. Faire preuve d'influence c'est convaincre. Convaincre d'essayer, de s'engager, d'acheter. Convaincre un fournisseur de s'engager dans une relation d'affaires, négocier pour acheter ses matières premières au meilleur prix. Mais aussi convaincre les parties prenantes pour avoir les autorisations de s’implémenter et se développer : l'administration, les autorités locales, les associations de riverains, la copropriété de l'immeuble, etc.

Compétence DÉLÉGUER : si les débuts d'une petite entreprise sont marqués par la polyvalence de ses créateurs à occuper tous les postes et tout faire, très rapidement il faut qu'ils soient capables de déléguer pour se focaliser sur le développement de leur entreprise. C'est cette SOFT SKILL qui fait la différence entre l'entrepreneur qui s'est juste créé un emploi en étant en permanence au service de son entreprise, et celui qui grâce à la délégation active un puissant effet de levier, et ainsi se construit un système qui travaille pour lui, un empire financier à son service.

Compétence PRENDRE ACTION : arrêter de réfléchir et se lancer dans l'action. Maîtriser cette compétence d'apparence anodine, c'est franchir la frontière entre le salarié qui rêve de créer son entreprise, et va passer son temps à faire des plans et des calculs; et celui qui passe à l'action et met en œuvre son plan avec constance et qui fait preuve de combativité face à tous les challenges et obstacles. Ces deux soft skills sont très importantes car ce sont celles qui permettent de PRENDRE ACTION sur une durée suffisamment longue pour avoir des résultats tangibles.

Voici une liste de 100 SOFT SKILLS parmi les plus importantes pour réussir sa carrière professionnelle, sa recherche d'emploi ou son projet d'entreprenariat. Elles sont livrées en vrac sans ordre d'importance, avec une courte explication à chaque fois. Si tu veux en savoir plus sur les SOFT SKILLS, ce site internet regroupe un grand nombre d'autres ressources qui vont plus en détail et en profondeur sur ces sujets. Cette liste de compétences est une véritable mine d'or pour affuter son CV et ses lettres de motivation.

• L'efficacité: être efficace ce n'est pas faire un maximum de choses en un minimum de temps, être efficace, c'est générer un maximum de valeur en un minimum de temps.
• Le focus: ne pas perdre de vue l’essentiel, rester focalisé pendant les périodes critiques, ne pas s’éparpiller, ne pas perdre de vue ses objectifs.
• Gestion du temps: que cela soit au travail ou dans sa vie personnelle, le temps est une ressource qui diminue à chaque instant, et il est impossible de savoir combien de temps tu as dans ta vie. Alors utilise bien ton temps!
• Gestion du stress: le stress, quand il se manifeste de manière chronique et répétitive, c'est un ennemi, car il nuit à l'efficacité. Il aboutit à une mauvaise productivité et à de mauvaises prises de décision. Mais aussi, quand il apparait ponctuellement et qu'il est bien canalisé, il peut permettre de générer énormément de valeur en un temps très court.
• Gestion de budget: savoir gérer son argent personnel, mais aussi l'argent et les budgets qui nous sont confiés au travail
• Avoir le sens des priorités: ce qui rejoint la compétence d'efficacité que nous avons vu précédemment
• L'attention au détail: ce qui n'est pas tout à fait la même chose que la perfection, qui elle dans certains cas de figure, peut être un frein à la création de valeur et l'atteinte des objectifs
• Être organisé: agenda, boîte emails, classement des dossiers physiques ou électroniques, tâches de la vie personnelle, tout cela doit être en ordre pour être performant
• S'engager à tenir les délais annoncés: on parle ici de crédibilité, qui, si elle est perdue, peut mettre une carrière professionnelle ou un projet d'entreprenariat au point mort
• Rester concentré: c'est de plus en plus difficile avec les open spaces, les smartphones, et toutes ces notifications qui arrivent sur tous les écrans
• Avoir le sens des réalités: là nous abordons une compétence très subtile qui marche de pair avec l'optimisme
• Avoir un esprit pragmatique: c'est la même notion. Être idéaliste ou perfectionniste, c'est très beau, mais en entreprise et dans la vie en société, il faut répondre aux problèmes par des solutions concrètes, palpables, et rapidement mises en place.
• Gérer la pression: la pression des tâches à faire, mais surtout la pression de toutes les personnes avec qui tu interagis, et qui te font savoir parfois fortement qu'elles ont besoin de quelque chose de toi.
• Avoir un jugement approprié et adapté à la situation: voici une autre compétence très subtile, qui demande beaucoup de sérénité
• Savoir optimiser un processus: utiliser au mieux les ressources disponibles
• Flexibilité: tout va de plus en plus vite dans notre monde, il y a de plus en plus d'innovation, de compétition. Dans le monde des affaires, il est impossible de prévoir l'avenir. Prévoir l'avenir n'est pas une soft skill, c'est une escroquerie. Dans un monde aussi incertain, il faut être agile, flexible et adaptable.
• Savoir faire face aux changements rapides et permanents de l’entreprise: c'est toi qui doit t'ajuster par rapport à un environnement qui change, c'est pas toi qui va changer l'environnement. C'est très important car dans la vie, et dans les entreprises, on trouve trop de personnes qui se battent contre le changement.
• Être ouvert aux changements: un changement pour toi c'est une opportunité, pas une menace
• Savoir faire évoluer ses manières de procéder
• Savoir se remettre en question
• Savoir faire évoluer son opinion ou son jugement
• Remettre en question ses connaissances et croyances
• Écouter: il faut écouter, considérer ses interlocuteurs. Un bon leader écoute plus qu'il ne parle.
• Observer: comprendre la situation, y compris dans ses aspects les plus subtils, les non-dits, les postures corporelles d'ouverture ou de fermeture de ses interlocuteurs.
• Anticiper: nous avons vu tout à l'heure qu'il est quasiment impossible de prévoir l'avenir. Mais plus on avance dans le futur, plus les probabilités que des opportunités et des risques se matérialisent sont précises, et peuvent être anticipées
• Capacité à apprendre: il faut jamais s'arrêter d'apprendre. Apprendre dans les livres, les revues professionnelles, dans les formations, dans les conférences. Accepter d'apprendre de tout le monde, y compris de ceux qui sont moins âgés, qui ont moins d'expérience, moins de diplômes, ou encore qui ont un rang plus bas que toi dans la hiérarchie.
• Être créatif: une compétence très appréciée par les startups. Être créatif c'est s’éloigner des schémas de pensée dominants, trouver de nouvelles alternatives, et pourquoi pas, des technologies ou des schémas économiques disruptifs.
• Être innovant: ça c'est très important pour les chefs d'entreprise. Il faut innover, toujours, sinon à terme, c'est la mort du business.
• Ouverture d’esprit: écouter des gens avec qui on n'est pas d'accord, s'engager dans une direction que tu as toujours combattue, essayer de comprendre des choses contre lesquelles tu as des aprioris. Pour réussir il faut en permanence être nourri de nouvelles idées.
• L'empathie: c'est savoir se mettre la place de quelqu'un d'autre, et de comprendre ce qu'il ressent. Compétence indispensable pour être un leader influent. Indispensable pour mener à bien une négociation, vendre un produit, résoudre un problème, gérer un projet de transformation.
• Établir des connections avec les gens: et je dirais des connections profondes avec les gens, pas juste une connexion sur Linkedin ou sur Facebook.
• Optimisme: être positif vis-à-vis de ce qui se passe.
• Le bon sens: compétence très subtile et difficile à évaluer
• Le sens de l'humour: bien utilisé, et au bon moment, cela peut être très puissant
• Les bonnes manières en société: toujours comprendre et s'adapter aux codes de la société, du pays dans lequel on fait des affaires.
• La confiance en soi: si tu n'as pas confiance en toi, les autres n'auront pas confiance en toi, et ta carrière ne va jamais décoller
• Résolution de problèmes: être manager, ou être entrepreneur, c'est être payé pour résoudre des problèmes. Si tu n'aimes pas résoudre des problèmes, ne deviens pas manager, et n'essaye surtout pas de créer ton entreprise.
• Amélioration continue: c'est un état d'esprit que de toujours s'améliorer, et surtout, améliorer ses SOFT SKILLS
• La prise de décision: cela réfère à la capacité d’analyse et l'aptitude à arbitrer entre plusieurs options, et prendre action derrière
• La résolution de problèmes complexes: l'aptitude à identifier un problème et à en percevoir la complexité, ce qui demande une grande capacité d’analyse pour apprécier et appréhender une situation, une aptitude à trouver des solutions, et une capacité à prendre des décisions pour mettre en œuvre le plan d’action
• L'agilité: très proche de la compétence de flexibilité que nous avons déjà vue, mais avec en plus des notions de mouvement et de rapidité. Compétence indispensable pour évoluer dans les environnements flous et incertains, comme le monde des affaires
• Adaptabilité: plus tu fais preuve d'adaptabilité, et plus tu auras d'opportunités professionnelles, car la direction pensera à toi pour un éventail large d'évolution de postes
• La prise d’initiatives: déjà savoir prendre des initiatives, mais aussi sans outrepasser un périmètre imaginaire et non défini au-delà duquel ta direction ne souhaite pas que tu t'aventures.
• Gérer ses émotions: compétence très vaste, et au combien utile dans tous les domaines de la vie
• Éviter les conflits: toujours se souvenir que quand une guerre éclate, il n'y a que des perdants.
• La diplomatie: compétence qui requiert une solide maitrise des SOFT SKILLS communication et négociation
• La communication: communiquer, c'est connecter avec les autres. Connecter c'est établir un échange. Bien communiquer c'est accroître son pouvoir d'influence. La communication est un très vaste sujet, qui intègre des dizaines de soft skills. C'est une compétence que tu pourras toute ta vie améliorer. Le premier critère pour avoir une promotion en entreprise, c'est la capacité à bien communiquer.
• L'influence: le mot peut faire peur, mais c'est la plus importante des SOFT SKILLS. Nous avons vu juste avant la soft skill communication. Quel est le but de la compétence communication? C'est d'influer les gens. Pour vendre un produit, pour vendre une idée, pour changer la perception de ses interlocuteurs sur une idée, une chose, une personne
• Savoir faire passer un message: une compétence classée dans la catégorie communication
• Être précis, concis et clair: pareil, c'est de la catégorie communication
• Expression orale: c'est surtout à elle qu'on pense quand on pense à la compétence communication, mais la communication c'est aussi :
• Expression écrite: savoir rédiger des communications claires et structurées.
• Expression corporelle: communiquer avec la posture et les mouvements du corps
• Faire preuve de discernement: c’est-à-dire la capacité de bien juger, d'apprécier à leur juste valeur les gens, les idées, les concepts.
• Partager l’information: on dit souvent que affirmation c'est le pouvoir, et on peut débattre de cette information à notre époque où l'information n'est plus qu'une matière brute comme une autre, mais ce qui est sûr, c'est que faire de la rétention d'information, c'est un comportement de petit chef qui n'est pas confiance en lui et qui ne sait pas travailler en équipe. Ne pas partager l'information peut même être une faute professionnelle.
• Sortir de sa zone de confort: pour s'améliorer il faut aller vers de nouvelles choses, aller vers l'inconnu, parfois prendre des risques. Rester dans le connu, c'est ne pas évoluer.
• L'esprit d’entreprendre: indispensable à tous les créateurs d'entreprise, mais aussi aux managers à qui on confie la mission d'aborder un nouveau marché
• L'audace
• La proactivité: ne pas attendre que l'on te dise de faire les choses. Si c'est bon pour le business, fais-le.
• La motivation: c'est se motiver, et donc donner un sens à sa vie et à son travail, mais c'est aussi en tant que leader de motiver les autres
• Être bien dans sa peau: c'est la base pour développer ses soft skills. Si tu ne te sens pas bien dans ta peau en tant que personne, intéresse toi au domaine que l'on appelle le développement personnel. Tu trouveras plein de ressources sur Internet. Traite d'abord ce problème, ensuite le terrain sera propice aux développement des soft skills
• Développer une vision: la grande majorité des managers, y compris à très haut niveau, n'ont pas de vision pour le service, le département ou l'entreprise. Quelque soit ton niveau hiérarchique, tu dois développer une vision pour ton aire de responsabilités.
• Avoir le sens du collectif: cela rejoint la compétence travailler en équipe, mais pas uniquement, car cela englobe aussi l'idée de comprendre ce qui s'appelle en anglais la big picture. C'est aussi ne pas placer ses intérêts personnels, avant ceux de l'entreprise.
• Travailler en équipe: c'est la capacité à collaborer dans un groupe. J'aime ce proverbe africain: seul on va plus vite, mais ensemble on va plus loin. Avoir un esprit d’équipe, c'est ne pas penser qu’à soi mais au groupe, au département, à l'entreprise dans lesquels on évolue. C'est partager ses connaissances. C'est aider les autres quand ils en ont besoin. Dans une organisation, tu n'es pas jugé uniquement sur ta performance individuelle, mais surtout sur ta contribution à la performance collective.
• Coordination
• Ethique
• Curiosité
• Savoir créer un climat de confiance
• Vendre: des produits aux clients, mais aussi des idées ou des projets en interne
• Prendre des risques: prendre des risques c'est tout un art, et certainement pas une partie de poker.
• Connaissance de soi: apprendre à mieux se connaître c'est une compétence utile pour développer toutes les soft skills que l'on appelle interpersonnelles.
• Réflexivité: un mot savant pour réfléchir sur une expérience passée, pour comprendre ce qui s’est passé. C'est notamment ainsi que l'on apprend de ses échecs.
• Prendre action: compétence très importante pour les entrepreneurs, mais aussi en entreprise, où l'on croise beaucoup de managers qui parlent beaucoup, mais agissent peu.
• Esprit critique: ça ne veut pas dire tout critiquer, ça veut dire être capable de mener à bien un raisonnement
• Sens du service: aider un autre département, travailler sur des challenges transversaux, être disponible
• Négociation: l'art d'être capable d’intégrer divers points de vue et d’argumenter efficacement pour faire accepter le sien
• Management: je n'aime pas trop ce mot qui est trop vaste et qui ne veut pas dire grand-chose. Je préfère te renvoyer vers les compétences de leadership et influence que nous avons déjà vues
• Adaptabilité: travailler dans des situations diverses et évoluer d'une situation à une autre avec aisance et facilité
• Résistance à une forte charge de travail: une forte charge de travail peut amener à deux comportements négatifs: se laisser gagner par le stress, et devenir inefficace, ou se laisser envahir par le laxisme, en se disant qu'il ne sert à rien de se battre puisque la cause est perdue d'avance.
• Stabilité (personnelle et professionnelle). On aimerait que la vie personnelle et la vie professionnelle soient complètement étanches, mais malheureusement ce n'est pas le cas. Des problèmes personnels impactent la vie professionnelle, et inversement. De même un salarié qui a trop de petites expériences sur son CV, ce n'est pas un profil stable, c'est suspect. Moi en tant que recruteur, ça m'alerte sur le fait que le candidat ne maîtrise pas bien des soft skills, comme la combativité, le contrôle des émotions, le travail en équipe, ou tout simplement l'efficacité.
• Engagement: se sentir impliqué par ce qui se passe dans l'organisation, et le démontrer
• Autodiscipline: mon avis personnel sur l'autodiscipline c'est que c'est une compétence très liée à la maturité, qui elle-même n'est pas toujours corrélée avec l'âge.
• Capacité d'intégration: très important quand on recherche un emploi, une expérience d'expatriation, ou une évolution de carrière non verticale
• Connaissance des autres: savoir connaître les personnes avec qui on travaille, collègues, clients, fournisseurs, et de manière plus large les stakeholders, pour bien calibrer l'utilisation de ses soft skills
• Compétences analytiques: de plus en plus important car nous sommes rentrés au milieu des années 2010 dans l'ère de la data. La capacité d'analyse est un outil et une compétence à maîtriser, en complément d'autres compétences plus subjectifs, pour prendre des décisions
• Savoir organiser: nous avons déjà vu la compétence du savoir s'organiser. Savoir organiser en est une de plus complexe car il s'agit de s'assurer que l'on place les bonnes ressources, les bonnes personnes, au bon endroit, au bon moment et de la bonne manière pour atteindre un objectif
• La clarté: la clarté dans sa communication, mais aussi la clarté d'esprit pour prendre de bonnes décisions
• La capacité à se faire des amis: ce qui rejoint l'idée d'établir des connections sincères et profondes avec les gens. On utilise ici le terme amis au sens large.
• Feedback constructif: c'est l'art de décrire ou rapporter un problème avec l'objection non pas de sanctionner, mais de permettre d'améliorer les choses, ce qui implique d'autres soft skills pour par exemple communiquer sur le problème sans blesser les gens
• Feedback positif: c'est la capacité à dire ce qui va bien, ce qui a été bien fait, à célébrer les succès, à encourager les initiatives.
• Déléguer les tâches: indispensable quand on gère un équipe, même d'une seule personne, ou encore pour gérer un sous-traitant. Pour bien déléguer, il faut expliquer le pourquoi. Ne pas savoir bien déléguer conduit inéluctablement à ne pas être efficace.
• Collaborer, Coopérer: les organisations sont de plus en plus horizontales, les projets de plus en plus agiles et transversaux. Le travail d'un cadre c'est de sans cesse interagir avec des personnes et des stakeholders sur lesquelles il n'a aucun pouvoir hiérarchique
• Médiation: compétence utile pour la gestion ou la prévention des conflits
• Garder son calme, son sang froid: compétence clé dans la famille du contrôle de ses émotions
• Gérer l'urgence: savoir reconnaître les urgences - les vraies - et éviter qu'elles se transforment en une situation de crise
• Gérer le hors norme, l'imprévu: que faire, comment réagir face à des situations qui ne se sont jamais présentées auparavant, qui ne sont pas écrites dans les manuels de procédure
• Raisonnement logique: savoir mener un raisonnement logique, ou en tout cas tenir un raisonnement qui a l'air logique, dans le but de le communiquer ou de prendre une décision
• Persuasion: compétence indispensable pour vendre un produit, mais aussi des idées ou des projets.
• Combativité: ne pas baisser les bras face à l'adversité, ne pas abandonner trop vite
• Constance: être régulier dans ses efforts. Je termine sur cette série de SOFT SKILL par la constance car je trouve que c'est une des compétences les plus puissantes. Dans un autre article je parlerai de l'effet cumulé et tu comprendras pourquoi pour réussir sa vie, il vaut mieux faire de petits efforts régulièrement plutôt que de gros efforts de temps en temps.

Voilà je m'arrête là. Il existe bien évidemment beaucoup d'autres SOFT SKILLS. Dans cet article, j'en ai présenté 100. Elles étaient toutes publiées en vrac, mais je vais publier d'autres contenus texte et vidéo sur les SOFT SKILLS, de manière plus structurée, en allant plus en profondeur.

Pour aller plus loin sur le sujet, je recommande 2 choses :

• S'abonner à la chaîne YouTube Waterfall Revenue pour recevoir régulièrement des contenus de ce type
• link:S'inscrire au groupe privé Le Cerclehttps://w.waterfallrevenue.com/l/lecerclewe, auquel sont partagés des contenus traités avec profondeur sur le thème de la réussite professionnelle. Le lien d'inscription se trouve " target="_blank">S'inscrire au groupe privé Le Cerclehttps://w.waterfallrevenue.com/l/lecerclewe, auquel sont partagés des contenus traités avec profondeur sur le thème de la réussite professionnelle. Le lien d'inscription se trouve link:icihttps://w.waterfallrevenue.com/l/lecerclewe. C'est entièrement gratuit.